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Author: Claude Gosselin

Cartographie des Automatistes
DERNIÈRE CHANCE POUR LES PROMENADES GUIDÉES!

La verrière (1968) de Marcelle Ferron, intégrée à la station de métro Champs-de-Mars (ligne orange), Montréal

Montréal, le 7 octobre 2022 – Vous êtes cordialement invités à faire l’expérience des promenades guidées de la « Cartographie des Automatistes », lancées par le Centre international d’art contemporain de Montréal (CIAC MTL). Les visites se terminent dans trois semaines : réservez votre place dès maintenant via notre billetterie en ligne LE POINT DE VENTE.

C’est avec grand plaisir que nos guides ont accueilli nos premiers visiteurs en septembre. Durant ces tours, les participants ont découvert plusieurs lieux marquants du regroupement des artistes des Automatistes (1939-1955) via deux circuits de découverte : le plateau Mont-Royal / Quartier Latin et le Centre-ville / rue Sherbrooke.

Les promenades, animées par des guides professionnels, vous invitent à marcher dans les pas de ces artistes, à découvrir les lieux importants ayant marqué leur travail et leur vie personnelle. Elles permettent de mieux comprendre, in situ, leur apport immense dans les domaines des arts visuels, de la danse, de la littérature, du théâtre, du design et de la psychanalyse au Québec et au Canada dans la période imminente de l’après-guerre.

Ces artistes sont, par ordre alphabétique : Magdeleine Arbour, Marcel Barbeau, Paul-Émile Borduas, Bruno Cormier, Marcelle Ferron, Claude Gauvreau, Pierre Gauvreau, Muriel Guilbault, Fernand Leduc, Françoise Lespérance-Riopelle, Jean-Paul Mousseau, Maurice Perron, Louise Renaud, Thérèse Renaud, Jean Paul Riopelle, Françoise Sullivan.

Le langage utilisé dans les visites s’adresse à des personnes non spécialisées en histoire de l’art, mais qui veulent connaître davantage les artistes majeurs du Québec moderne et contemporain dont nous devrions tous et toutes être fiers! Les promenades intéresseront également toute personne curieuse d’en apprendre davantage sur l’histoire sociale, politique et artistique du Québec.

Nos deux circuits proposés:

1. Le Plateau Mont-Royal / Quartier Latin

La promenade débute où se trouvait la résidence-atelier de Borduas, pour se poursuivre aux endroits suivants : le square Saint-Louis, où Françoise Sullivan, Pierre Gauvreau et Bruno Cormier se rencontraient entre amis, la résidence des Gauvreau sur la montée Saint-Denis, l’École polytechnique des années 1940 où Jean Paul Riopelle a étudié, l’ancienne École du meuble où Borduas a enseigné. Le circuit se termine à la station de métro Champs-de-Mars, afin de présenter la célèbre verrière de Marcelle Ferron (1966-1967). De l’information supplémentaire sera donnée sur les œuvres des artistes et leur apport à la vie culturelle du Québec. Des endroits hors circuit seront aussi abordés : ainsi l’« Atelier de la ruelle » et le lieu de la première exposition des Automatistes à Montréal.

Dates :

En français :
Jeudi 13 octobre 18h
Dimanche 16 octobre 14h
Dimanche 23 octobre 14h
Dimanche 30 octobre 14h

En anglais :
Dimanche 9 octobre 14h

2. Le centre-ville / rue Sherbrooke

La promenade commence devant l’ancienne École des beaux-arts de Montréal et s’arrête par la suite aux endroits suivants : l’ancienne résidence des Gauvreau, au 75, rue Sherbrooke Ouest, où le manifeste Refus global a été imprimé et assemblé, les lieux où se trouvaient la résidence-atelier de Fernand Leduc et la résidence de Muriel Guilbault, aussi espace d’expositions et de vives discussions, les galeries d’art de la rue Sherbrooke Ouest et le Musée des beaux-arts de Montréal. On y abordera, de plus, la première grande exposition de Paul-Émile Borduas, tenue à l’Ermitage, ainsi que les premières rencontres de ce groupe d’amis-artistes dans les rues du quartier.

Dates :

En français :
Samedi 8 octobre 14h
Samedi 22 octobre 14h
Samedi 29 octobre 14h

En anglais :
Samedi 15 octobre 14h

Détails et infos

DURÉE : 2H

TARIF :
20 $ (taxes et frais de réservation compris)
Gratuit pour les moins de 15 ans accompagnés d’un tuteur

BILLETTERIE (achat en ligne seulement) :
Cliquez ici pour accéder à la billetterie

AUCUN REMBOURSEMENT, ÉCHANGE POSSIBLE EN CAS DE FORCE MAJEURE
Visites à pied BEAU TEMPS, MAUVAIS TEMPS (sauf en cas de tempête)

INFORMATION :
514 288 0811 | Claude.gosselin@ciac.ca | www.ciac.ca

Ce projet est réalisé grâce au soutien financier du gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal dans le cadre de l’Entente de développement culturel de Montréal.

Avis de décès – JEANNE RENAUD

 

 Jeanne Renaud
Crédit photo : Ed Kostiner

Montréal, le 16 septembre 2022 — Nous avons le regret d’annoncer le décès de notre amie Jeanne Renaud, grande artiste, chorégraphe, danseuse, pédagogue et directrice artistique, qui s’est éteinte le 15 septembre à l’âge de 94 ans.

Née à Montréal le 27 août 1928, Jeanne Renaud a formé avec ses deux sœurs, feu la poétesse Thérèse Renaud et feu la peintre Louise Renaud, une fratrie de trois femmes artistes qui ont profondément marqué le milieu de l’art au Québec. Elle était aussi la sœur de feu Louis Renaud, photographe décédé dans un accident d’avion. Elle a été la conjointe de feu le docteur Jean-Pierre Labrecque et de feu le photographe Ed Kostiner. Elle laisse dans le deuil son fils Sylvain Labrecque (Sophie Lebeau) — sa fille Michelle Labrecque l’a précédée dans la mort —, sa filleule Isabelle Leduc, fille de Thérèse Renaud et Fernand Leduc, sa nièce Barbara Kloeppel, fille de Louise Renaud et de Francis Kloeppel, Lolly Renaud, fille de Louis Renaud, ses petits-enfants Renaud et Vincent Bégin, son arrière-petit-fils Guillaume ainsi que de nombreux amis.

Aux côtés de Françoise Sullivan et de Françoise Riopelle, Jeanne Renaud aura été une des pionnières de la danse moderne au Québec. Elle commence sa formation de danseuse avec Elizabeth Leese et Gérald Crevier à Montréal, puis avec Merce Cunningham, Hanya Holm et Mary Anthony à New York en 1946. Avec Françoise Sullivan, elle présente ses premières chorégraphies à Montréal en 1948. Artiste intimement liée aux Automatistes, mais mineure en 1948, elle n’est pas invitée à signer le manifeste Refus global comme l’ont fait ses sœurs Louise et Thérèse.

Jeanne Renaud séjourne à Paris de 1949 à 1952, où elle rejoint Fernand Leduc et ses sœurs Thérèse et Louise, Jean Paul Riopelle et Françoise Lespérance-Riopelle. Elle enseigne la danse et présente un spectacle le 3 mars 1950 à l’American Student’s and Artists’ Center de Paris, en collaboration avec le peintre Jean Paul Riopelle et les compositeurs Pierre Mercure et Gabriel Charpentier. À Montréal, en 1965, elle présente le spectacle Expression 65 dont le grand succès l’encourage à fonder, en 1966, le Groupe de la place Royale, assisté de Peter Boneham. Elle s’y illustre comme chorégraphe, danseuse et directrice artistique jusqu’en 1972. Au cours des années 1970 et 1980, Jeanne occupe plusieurs postes administratifs et artistiques :  en 1970-1971, elle est professeure à l’École nationale de théâtre et au cégep Lionel-Groulx. De 1972 à 1975, elle fonde et dirige avec Ed Kostiner la Galerie III, dédiée à l’art contemporain; puis elle est agente des arts au Conseil des arts du Canada de 1975 à 1979 et au ministère des Affaires culturelles du Québec de 1979 à 1985, où elle est directrice du Service de la danse et attachée à la direction générale des conservatoires d’art dramatique du Québec. De 1985 à 1987, elle est la codirectrice artistique des Grands Ballets Canadiens aux côtés de Linda Stearns. Elle termine sa carrière en tant que professeure à la faculté des arts à l’Université du Québec à Montréal, de 1987 à 1989.

Encore récemment, Jeanne Renaud créait une chorégraphie pour le film Brèves histoires de pierres muettes (2018) du réalisateur Mario Côté et le Projet Feldman/Renaud à la Salle Bourgie en 2021, avec les danseurs Louise Bédard et Marc Boivin.

Tout au long de son parcours exceptionnel, Jeanne a fait des rencontres stimulantes avec les artistes québécois les plus marquants de leur époque. Sa feuille de route comprend plus de 40 chorégraphies dans lesquelles elle contribua à transformer la danse en discipline artistique contemporaine. Ses grandes réalisations lui valent l’obtention de prestigieux prix, parmi lesquels le prix Denise-Pelletier (1989) et le Prix du Gouverneur général du Canada pour les arts de la scène (1995), en plus d’être nommée membre de l’Ordre du Canada (1998) et compagne de l’Ordre des arts et des lettres du Québec (2018).

Le Québec se souviendra de Jeanne Renaud comme une grande pionnière des arts et une grande stimulatrice et mentore pour plusieurs créateurs et créatrices — feu Jean-Pierre Perreault, Sylvain Émard, Louise Bédard, Marc Boivin, et combien d’autres. Comme chorégraphe, Jeanne Renaud a toujours encouragé un dialogue fructueux avec les artistes visuels en intégrant à ses spectacles des créations de Françoise Sullivan, Fernand Leduc, Jean Paul Riopelle, Bruce Parsons, John Heward, entre autres, de même qu’avec les compositeurs contemporains, notamment Serge Garant, Gilles Tremblay et Walter Boudreau.

Nous nous souviendrons longtemps de l’influence qu’aura eue Jeanne Renaud sur nos vies personnelles et professionnelles. Nous lui en sommes très reconnaissants.

Ont signé : Son fils Sylvain Labrecque. Sa nièce Isabelle Leduc. Ses amies et amis, Rose-Marie Arbour, Michel Batlle, Marc Boivin, Louise Bédard, Mario Côté, Sylvain Émard, Cyrille Girard, Claude Gosselin, Laurier Lacroix, Jean Logan, Pierre Pilotte, Yseult Riopelle, Sylvia Safdie, Danielle Sauvage, Suzanne Sauvage, Richard Simas, Françoise Sullivan, Anne Viau, René Viau.

Plusieurs autres personnes auraient pu se joindre à nous si nous avions eu le temps de les contacter. Nous nous en excusons auprès d’elles.

Un hommage sera rendu à Jeanne Renaud dans quelques semaines. Parents et amis seront avisés. Contact : Claude.gosselin@ciac.ca

LOGER LA FONDATION JEAN PAUL RIOPELLE
À L’ANCIENNE ÉCOLE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL

Le Devoir numérique du 18 février dernier a publié dans sa section Idée une lettre de Claude Gosselin proposant de loger La Fondation Jean Paul Riopelle dans l’ancienne École des beaux-arts de Montréal actuellement non utilisée depuis bientôt 12 ans. (lien)

 

Photo : 2016 © Jean Gagnon, Creative Commons.


LUC COURCHESNE

Le Conseil des Arts du Canada a remis à Luc Courchesne son Prix annuel des arts visuels et des arts médiatiques 2020. Toutes nos félicitations à Luc pour ce prix fort bien mérité. (lien) . On pourra lire et voir dans le catalogue de l’exposition Lumières sa participation à l’événement des Cent jours de 1986 (lien)

 

Photo : Conseil des arts du Canada.


CATALOGUE LUMIÈRES, PERCEPTION – PROJECTION, CENT JOURS D’ART CONTEMPORAIN DE MONTRÉAL 1986.

Le catalogue de l’exposition LUMIÈRES, Perception – Projection , des Cent jours d’art contemporain de Montréal de 1986, est maintenant en ligne sur le site web du CIAC MTL, sous Les Cent jours, 1986 (lien) . Bonne lecture et heureux souvenirs. Ce travail a été réalisé par Entreprises auxiliaires UQAM.

L’ÉCOLE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL
POUR LA FONDATION JEAN PAUL RIOPELLE


Photo: Jean Gagnon Creative Commons «L’ÉBAM est un bâtiment exceptionnel construit en 1922 par Jean-Omer Marchand et Ernest Cormier, deux architectes québécois des plus célèbres et innovateurs», rappelle l’auteur.

Par Claude Gosselin.
Texte publié dans Le Devoir, Montréal, 18 février 2021.

Au cours des derniers jours, plusieurs événements tristes nous ont montré le peu d’enthousiasme et de respect manifesté par des individus et des dirigeants de municipalités envers le patrimoine bâti au Québec, qui ont été jusqu’à faire part publiquement et sans aucune gêne de leur insouciance.

On peut même penser que la peur d’une nouvelle loi plus favorable à la protection du patrimoine en pousse certains à se presser de demander la démolition de certains bâtiments, et d’autres à ouvrir la porte aux incendies criminels. Il est donc urgent de porter dès maintenant un œil vigilant sur les bâtiments patrimoniaux et sur ceux qui ne sont pas encore classés, mais qui devraient l’être, et qui sont laissés à l’abandon et sans surveillance.

L’occasion est bonne de rappeler que l’ancienne École des beaux-arts de Montréal (ÉBAM), située au 3450, rue Saint-Urbain, est sans occupant depuis le départ du Conseil des arts de Montréal, en 2009. Le bâtiment est sous la responsabilité de la Société des infrastructures du Québec (SIC), dont une partie de la mission est de développer, de maintenir et de gérer un parc immobilier.

L’ÉBAM est un bâtiment exceptionnel construit en 1922 par Jean-Omer Marchand et Ernest Cormier, deux architectes québécois des plus célèbres et innovateurs. L’École a été le milieu d’apprentissage des arts pour plusieurs artistes, dont certains parmi les plus grands. C’est là que Pierre Gauvreau, Louise Renaud et Françoise Sullivan, trois automatistes signataires de Refus global, ont suivi leurs premiers cours d’art.

Alors qu’aujourd’hui on cherche un lieu pour la Fondation Jean Paul Riopelle et, par extension, un lieu pour le groupe des automatistes, il nous paraît tout à fait logique de nous tourner vers l’ÉBAM pour y accueillir les œuvres de Riopelle et celles de ses amis et amies ainsi que pour y aménager un centre de documentation international sur le groupe des automatistes et l’époque à laquelle il s’est développé.

Ce serait là une occasion extraordinaire de remettre ce joyau du patrimoine architectural à une institution, qui, avec les fonds prévus pour le développement de la Fondation Riopelle, pourrait le mettre aux normes d’aujourd’hui et lui permettre d’accueillir des expositions publiques. Ayant utilisé ce bâtiment pour une édition de la Biennale de Montréal en 2011, nous connaissons son potentiel exceptionnel pour les arts visuels. Le rendre au milieu des arts visuels serait le rendre à son activité première et constituerait un juste retour des choses — une opération sans frais exorbitants pour le gouvernement du Québec, à qui appartient l’ancienne ÉBAM.

Il faut souligner que l’ÉBAM est située dans un environnement patrimonial qui a tout aussi avantage à être développé : signalons à cet égard la Maison Notman, le Studio Ernest-Cormier, l’ancienne École technique de Montréal (1909-1911), aujourd’hui le Pavillon Sherbrooke du Complexe des sciences de l’UQÀM, et plusieurs lieux où les automatistes et d’autres artistes ont vécu, étudié, exposé et travaillé de 1939 à 1960. Le site possède aussi des terrains publics qui appartiennent au gouvernement du Québec et à la Ville de Montréal.

Il y a là un projet de « pôle culturel » à réaliser, avec un potentiel de contenu international pouvant se développer sur plusieurs années. Situé dans les limites du Quartier des spectacles, ce pôle ajouterait une offre touristique de premier plan pour la Ville de Montréal.

Protégeons notre patrimoine culturel en lui assignant des fonctions liées, dans la mesure du possible, à ses fonctions originales. Ne détruisons pas une bibliothèque historique pour en faire un lieu d’exposition. Rendons à la bibliothèque Saint-Sulpice une activité liée à la conservation et à l’animation de livres et de documents patrimoniaux. Et redonnons à l’ancienne École des beaux-arts de Montréal sa résonance dans le milieu des arts visuels avec la Fondation Jean Paul Riopelle.

SUZANNE KITE
UNE ARTISTE MULTIDISCIPLINAIRE AUTOCHTONE

Suzanne Kite

Dans le cadre de son projet INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET CRÉATION ARTISTIQUE, le CIAC MTL présente un article d’Anne-Marie Boisvert sur Suzanne Kite, une artiste multidisciplinaire autochtone de la tribu des Oglalas Lakotas (une tribu sioux), originaire de la Californie du Sud. Kite travaille dans des domaines aussi diversifiés que la musique, la performance, la sculpture et l’installation, en incorporant dans ses œuvres les nouvelles technologies issues de l’intelligence artificielle.

LIRE L’ARTICLE

 

Consulter les Fiches du CIAC MTL
Découvrir d’autres artistes de l’intelligence artificielle

 

Image : Suzanne Kite et Devin RonnebergItówapi Čík’ala (Little Picture), ISEA 2020 (capture d’écran tirée de la vidéo), https://art2020.isea-international.org/art-portfolio/suzanne-kite.

LA PLACE DES AUTOMATISTES À MONTRÉAL
Initiateur du projet : Claude Gosselin, claude.gosselin@ciac.ca

Lot 066

Une mise à jour :
1. Liste des gens qui appuient le projet (déjà près de 200 noms)
2. Place des Automatistes
3. Votre inscription

Nous vous remercions chaleureusement de votre appui !

 

EN SAVOIR PLUS

QUE LES MUSÉES OUVRENT LEURS PORTES !

Espérons que les musées pourront ouvrir leurs portes le plus vite possible. Lieux de calme et de civilité par excellence, lieux d’apprentissage du regard, lieux de plaisirs sains, lieux de contemplation, dites-moi pourquoi ma visite vous est interdite. Vous seriez un baume sur ma vie en temps de pandémie.

 

Le Musée des beaux-arts du Canada est ouvert, alors que le Musée des beaux-arts de Montréal et le Musée d’art contemporain de Montréal sont fermés. Où est la logique ?

 

Image : Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa, 2016. Photo © Jean Gagnon.

NOS MEILLEURS VOEUX

Laissons l’année dernière nous en la quittant sans regrets.
Envisageons l’année prochaine dans l’espoir de jours meilleurs.
C’est ce que nous vous souhaitons de tout cœur.
Que la santé soit au rendez-vous – Que la création soit radieuse.

Les membres du conseil d’administration :
Claude Gosselin, Cyrille Girard
Thomas Marcantonio, Nathalie Gervais, Nick Tedeschi

 


MONTREAL’S PLACE DES AUTOMATISTES
Project initiated by Claude Gosselin, claude.gosselin@ciac.ca

Lot 066

Update:
1. List of people supporting the project (already nearly 200 names)
2. Montreal’s Place des Automatistes
3. Support the project

Thank you for your support!

 

READ MORE

LET MUSEUMS OPEN THEIR DOORS!

Hopefully, museums will be allowed to reopen their doors as soon as possible. Places of calm and civility, places of visual learning, places of healthy pleasures, places of contemplation… Tell me, why am I barred from visiting? You would be a balm for my life during a pandemic.

The National Gallery of Canadais open, while the Montreal Museum of Fine Artsand the Musée d’art contemporain de Montréalare closed. Where is the logic?

 

Image: National Gallery of Canada, Ottawa, 2016. Photo © Jean Gagnon.

OUR BEST WISHES

Let’s leave this year behind us without regrets.
Let’s look to the next year for better days.
This is what we sincerely wish you.
May health be yours – May creation be radiant.

The members of the Board of Directors:
Claude Gosselin, Cyrille Girard
Thomas Marcantonio, Nathalie Gervais, Nick Tedeschi

BAnQ – SAINT-SULPICE
UNE BIBLIOTHÈQUE À GRAND POTENTIEL

BAnQ St-Sulpice

Par Claude Gosselin, Charles Lapointe et Jeanne Renaud.
Texte publié dans Le Devoir, Montréal, 5 décembre 2020.

En octobre dernier le gouvernement du Québec remettait le Prix du Québec-Gérard-Morisset à monsieur Claude Dubé pour son travail à la préservation du patrimoine québécois, patrimoine qu’il voulait source de fierté pour tous.

La semaine dernière, le gouvernement du Québec annonçait qu’il abandonnait un projet de bibliothèque technologique pour adolescents à la BAnQ-Saint-Sulpice, donnant à l’édifice patrimonial un sursaut de vie après 15 ans d’inoccupation. L’annonce n’a été suivie d’aucun nouveau projet, laissant entendre que ce magnifique bâtiment retournera au silence.

Une nouvelle Loi sur le patrimoine québécois est en préparation et devrait être présentée à l’Assemblée nationale au printemps prochain. Récemment madame Phyllis Lambert et monsieur Serge Joyal, dans Le Devoir, discutaient du fait que la future loi allait donner plus de pouvoir aux administrateurs des villes et villages du Québec pour décider des édifices patrimoniaux à protéger et à mettre en valeur.

Dans un monde idéal cela serait peut-être une avenue à considérer, mais dans la réalité quotidienne des municipalités qui retirent leur financement par la taxation des biens immobiliers, il sera toujours tentant pour les villes et villages du Québec de favoriser un projet immobilier à revenus importants à un bâtiment patrimonial à revenus réduits et à protéger. Nous l’avons constaté avec tristesse quand la Ville de Mascouche a décidé de démolir le manoir seigneurial de cette ville, un manoir exceptionnel du XVIIIe siècle et en bon état jusqu’à 2015, année où Mascouche en a pris possession. Pour sa part, la Ville de Québec nous a aussi offert de tristes exemples de permis de démolitions octroyés à des développeurs immobiliers peu imaginatifs et incapables d’inclure dans leurs plans le bien patrimonial public.

Nous sommes très heureux du travail qu’ont accompli monsieur Claude Dubé et ses différents partenaires à la préservation du patrimoine. Nous aimerions que le gouvernement du Québec tienne compte du travail de toutes ces personnes qui ont à cœur le bien public et qu’il puisse édicter des lois qui prennent soin de celui-ci. Car à quoi cela sert-il de reconnaître le travail d’individus passionnés pour leur pays et son histoire si dans la réalité de tous les jours on ne tient pas compte de l’objet de leur travail ? C’est tout simplement de l’hypocrisie, de l’aveuglement devant le devoir de marquer la réalité d’un peuple par ses réalisations, qu’elles soient physiques ou intellectuelles.

L’édifice de la Bibliothèque Saint-Sulpice est un bien patrimonial à la fois par son architecture, son design intérieur et les éléments qui ont servi à son mandat : tables, éclairage, rayonnage. Nous avons, pour une rare fois, un ensemble unique, bien conservé, à garder intact pour les générations à venir. Une bibliothèque majestueuse comme il y en a quelques exemples à travers le monde et dont les villes et les pays qui en sont propriétaires défendent avec amour leur nécessité comme témoins de leur culture et de leur histoire.

L’édifice de la Bibliothèque Saint-Sulpice a été conçu pour être une bibliothèque. C’est un bâtiment totalement intégré, une œuvre d’art totale, ayant une fonction très claire : conserver des livres et produire des activités connexes : expositions, conférences, projections de films. Pourquoi ne pas profiter de ce lieu pour y déposer les nombreuses archives en quête de lieux, telles les archives des communautés religieuses et celles des Sulpiciens, archives qui témoignent de l’histoire de notre pays ? Et d’autres archives civiles de première importance.

Conserver des archives ne veut pas dire les mettre dans un coffre-fort inatteignable. Bien au contraire. C’est rendre accessible un patrimoine à la recherche, à la lecture, à l’exposition, à la discussion, à la médiation, à la documentation, à la publication, aux médias électroniques…

Ce bâtiment est un lieu unique à Montréal. Un lieu de sérénité. Un lieu mythique. Pourquoi vouloir en faire un lieu d’excitation, de spectacle, d’animation sans frein, de consommation ? Ce lieu pourrait être une bibliothèque avec une résonnance internationale si on savait y loger les documents qui attirent l’attention de chercheurs de partout dans le monde. À titre d’exemple, nous citerons la bibliothèque-centre-de-recherche du Centre Canadien d’Architecture qui est un lieu universellement connu pour ses collections uniques en architecture. Il faut en cela remercier madame Lambert pour sa vision à long terme sur l’architecture et le patrimoine.

Nous croyons que la Bibliothèque Saint-Sulpice de Montréal a le potentiel de devenir une bibliothèque unique, vivante, et aimée. Le succès de la campagne de financement public mise sur pied récemment est la preuve que des gens sont prêts à appuyer un projet pour sauver ce bien public avec un objectif clair.

Nous espérons que la prochaine Loi sur le patrimoine implantera les structures nécessaires et donnera à des personnes en poste les responsabilités de sauver le patrimoine exceptionnel du Québec et qu’elles auront les moyens qui leur permettront d’agir.

 

Aussi à lire dans Le Devoir du 8 décembre 2020 : « La bibliothèque Saint-Sulpice, ce cimetière d’idées », par Catherine Lalonde.

Pour en savoir plus : Découvrez l’historique de la bibliothèque Saint-Sulpice.

 

Images :
1) Photographie, Bibliothèque Saint-Sulpice, BAnQ, 2016.
2) Photographie (détail), Bibliothèque Saint-Sulpice, Michel Legendre, BAnQ, 2016.
3) Photographie, Bibliothèque Saint-Sulpice, Michel Legendre, BAnQ, 2016.


 

LA PLACE DES AUTOMATISTES À MONTRÉAL

Initiateur du projet : Claude Gosselin, claude.gosselin@ciac.ca

À titre informatif, vous êtes plus de 163 à avoir appuyé la désignation d’un Espace public pour le Groupe des Automatistes à Montréal à ce jour. Nous vous remercions chaleureusement de votre appui.

Total des appuis reçus : 163
Appuis confidentiels : 6
Appuis reçus non publiés : 21*
Appuis publics : 136

*Vous pouvez toujours rendre votre appui public en nous écrivant à automatistes@ciac.ca

ABEL, Marie-Christine
ACHARD, Maurice
ADAMCZYK, Georges
ALLARD LANDRY, Pierre
ARORA, Natasha
BAERT, Renee
BARIL, Jacinthe
BARRE, Pierre M.
BASTARACHE, Jean-Yves
BÉDARD, Louise
BELAIR PAGNETTI, Michèle
BELLEFEUILLE, René
BELLEMARE, Linda
BELLEROSE-MORIN, Roxane
BENOIT, Claude-Philippe
BERNIER, Rene Michel
BERNIER, Colette
BERTRAND, Gilles
BILODEAU, Fabienne
BIRON, Normand
BLAIN, Dominique
BLANCHETTE, Pierre
BOUCHARD, Karine
BOUCHARD SANTERRE, Florence
BOUCHER, Flavie
BOUDREAULT, Marlène
BOUFFARD, Claude
BOULANGER, Michel
BOZZINI, Isabelle
BOZZINI, Stephanie
BRAULT, arch., Yves
BRIÈRE, Marie-France
CHAPDELEINE, Daniel-Joseph
CHÉNARD, André
CLOUTIER, Raymonde
CORMIER-PICHÉ, Denis
CÔTÉ, Mario
COUTURE, Francine
COVIT, Linda
COZIC
DAIGNEAULT, Gilles
D’AMOUR, Yvon
DÉRY, Louise
DEVLIN, Eric
DUBÉ, Marie-Christine

DUBOIS, Sophie
DUSSAULT, Nathalie
ÉMARD, Sylvain
FILION, Serge
FOISY, Carole
FORGUES, Michel
FOURNELLE, André
FOURNIER, Marcel
FRENKEL, Vera
GAGNON, Claude
GAGNON, Sophie
GAGNON, Johanne
GALLAND, Emmanuel
GAMACHE, Guy
GARIÉPY, Michel
GAUTHIER, Ninon
GÉVRY, Martine
GIANGIOPPI, Bruno
GIRARD, Kim
GIRONNAY, Sophie
GODIN-FILION, Vincent
GODMER, Gilles
GOSSELIN, Claude
GRAVEL, Diane
GREENBERG, Reesa
HAMELIN, Monique
HÉBERT, Pierre
JACQUES, Kathleen
JOLICOEUR, Nicole
JULIO-PAQUIN, Jean De
LACERTE , Sylvie
LACROIX , Laurier
LAFORTUNE, Marie-Josée
LAGACÉ, Michel
LAPOINTE, Charles
LAPOINTE, Jean
LAROCHELLE, Luc
LAVIOLETTE, Serge Jean
LE ROUX, Yves
LÉGARÉ, Jocelyne
LÉTOURNEAU, Lise
LÉTOURNEAU, Geneviève
LIZIÈRE
LOGAN, Jean
LORD, Francyne

LUSSIER, Réal
MARCANTONIO, Tommaso
MARCHETTA, Serge
MARÉCHAL, Paul
MARTIN, Pierre
MARTIN, Michel
MICHAUD, Ginette
MIHALCEAN, Gilles
MIRANDETTE, Marie Claude
MONGRAIN, Claude
MURPHY, Serge
NOËL, Jean
PAGÉ, Danny
PAQUET, Raynald
PARADIS , Michel
PARÉ, Alain
PELLETIER, Sonia
PÉRINET, Francine
PERRAULT, Marie
PERRON, Éric
PILOTTE, Pierre
PIQUETTE, Michel
PROVOST, Danyele
PRUD’HOMME, Emery
RENAUD , Jeanne
RENAUD, Paule
ROBILLARD, Mylène
ROCHON, Pierre
RODRIGUE, Guy
ROUSSEAU, Bernard
ROUSSEAU, Denis
ROY, André
SANTERRE, Bruno
SAVOIE, Julien
SOUTHAM, Chloe
ST-PIERRE, René
SULLIVAN, Françoise
SWAIN, Richard
TOUGAS, Colette
TOUSIGNANT, Serge
VALDÉS DE HOYOS, Remigio
VIGNEAULT, Louise
VILLENEUVE, Josette
WELSH, Henry
WILKINS, Jacques

EN SAVOIR PLUS SUR LE PROJET

 

Image : Lot 066 du Quartier des Spectacles, © Arrondissement Ville-Marie.

LA PLACE DES AUTOMATISTES À MONTRÉAL
Initiateur du projet : Claude Gosselin, claude.gosselin@ciac.ca

Place des Automatistes

Liste des personnes qui ont appuyé la désignation d’un
Espace public pour le Groupe des Automatistes à Montréal.
16 artistes qui ont revendiqué, au cours des années 1940-1955,
plus de liberté dans le monde des arts et de la culture et
plus de liberté dans la gouvernance du Québec.

OUI, j’appuie le projet du CIAC MTL pour que le lot no 066
du Quartier des spectacles / Place des arts de Montréal soit nommé
« Place des Automatistes ».

Anonymes : 3
Appuis reçus non publiés : 36*
*Vous pouvez toujours rendre votre appui public en nous écrivant à automatistes@ciac.ca
Appuis publics : 

ABEL, Marie-Christine
ACHARD, Maurice
ALLARD LANDRY, Pierre
ARORA, Natasha
BAERT, Renee
BARRE, Pierre M.
BELAIR PAGNETTI, Michèle
BELLEFEUILLE, René
BELLEROSE-MORIN, Roxane
BERNIER, Rene Michel
BERTRAND, Gilles
BILODEAU, Fabienne
BIRON, Normand
BLAIN, Dominique
BLANCHETTE, Pierre
BOUCHARD SANTERRE, Florence
BOUDREAULT, Marlène
BOULANGER, Michel
BRIÈRE, Marie France
CHÉNARD, André
CLOUTIER, Raymonde
CORMIER-PICHÉ, Denis
COUTURE, Francine
COVIT, Linda

COZIC
D’AMOUR, Yvon
DÉRY, Louise
DEVLIN, Eric
DUBÉ, Marie-Christine
DUSSAULT, Nathalie
FILION, Serge
GAGNON, Claude
GARIÉPY, Michel
GIANGIOPPI, Bruno
GIRONNAY, Sophie
GODIN-FILION, Vincent
GOSSELIN, Claude
GRAVEL, Diane
GREENBERG, Reesa
JACQUES, Kathleen
JULIO-PAQUIN, Jean De
LACERTE, Sylvie
LACROIX, Laurier
LAFORTUNE, Marie-Josée
LAGACÉ, Michel
LAPOINTE, Charles
LE ROUX, Yves
LÉGARÉ, Jocelyne
LOGAN, Jean

GAMACHE, Guy
MICHAUD, Ginette
MIHALCEAN, Gilles
MURPHY, Serge
PAGÉ, Danny
PAQUET, Raynald
PARÉ, Alain
PILOTTE, Pierre
RENAUD, Jeanne
ROBILLARD, Mylène
ROCHON, Pierre
RODRIGUE, Guy
ROUSSEAU, Bernard
ROUSSEAU, Denis
SANTERRE, Bruno
SULLIVAN, Françoise
SWAIN, Richard
TOUGAS, Colette
TOUSIGNANT, Serge
WELSH, Henry
WILKINS, Jacques

 

TOTAL : 109

 

Image : Lot 066 du Quartier des Spectacles, vue aérienne de Google Maps.


 

ROBERT GRAHAM
HEUREUX GAGNANT DE L’OEUVRE DE JOHN McEWEN

C’est avec plaisir que nous annonçons que Robert Graham a gagné l’œuvre de John McEwen, 5000 Stars (Day Two), 2003, tirée au sort à la fin de notre campagne de financement 2020 le 1er décembre dernier sous l’autorité de Me Guy Gamache.

Dons

Robert Graham a été un généreux donateur depuis plusieurs années au CIAC MTL. C’est la première fois qu’il gagne notre concours. Nous sommes très contents de le remercier ainsi.

JOHN McEWEN
5000 Stars (Day Two), 2003
Photographie couleur
Édition de 10
55 x 42 cm
Une valeur de 1000 $

Vous pouvez toujours faire des dons au CIAC MTL pour l’année 2020. Ceux-ci serviront à compléter nos projets : Cartographie des Automatistes à MontréalUne Place des Automatistes à Montréal, la publication de Fiches sur l’art et les artistes et de l’information sur Les papiers peints d’artistes, etc. Nous aimerions produire au cours des prochains mois un balado sur des œuvres d’art publiques et sur la présence de l’art et de l’architecture dans la ville. Même sans exposition à visiter, le CIAC MTL reste très actif. Nous vous remercions à l’avance.


 

JEAN-PAUL DAOUST
REÇOIT LE PRIX DU CALQ
ARTISTE DE L’ANNÉE DANS LANAUDIÈRE

Le Conseil des arts et des lettres du Québec a décerné son prix « Artiste de l’année dans Lanaudière » au poète Jean-Paul Daoust. Ce prix, assorti d’un montant de 10 000 $, lui a été remis lors d’un gala virtuel produit par Culture Lanaudière.

Les membres du jury ont salué « le talent et la passion de Jean-Paul Daoust […] Ce poète multiplie ses présences à des événements publics dans le souci de promouvoir la poésie. Bien enraciné dans sa région, l’écrivain lanaudois contribue à l’évolution de son milieu grâce à son travail passionné ».

Félicitations à Jean-Paul, un ami du CIAC MTL !

En savoir plus

 

Photo © Jean-Paul Daoust


 

PAPIERS PEINTS
AU MUSÉE DE LA TOILE DE JOUY

En complément à notre projet des papiers peints, nous soulignons le travail du Musée de la Toile de Jouy, en France, qui a dévoilé récemment son nouveau parcours permanent. On y découvre une série de vidéos mettant à l’honneur des papiers peints.

Visionner la vidéo 1

En savoir plus sur le Musée

 

Image © Musée de la Toile de Jouy.