Nous proposons le réaménagement du Musée d’art de l’Expo 67 en Pavillon des arts de la Cité-du-Havre.
Réinvestir ce bâtiment d’intérêt avec une programmation d’expositions de calibre international inscrira nos artistes dans l’histoire de l’art mondiale et se présentera en marqueur d’une fierté nationale.
Comprenant :
Un parc culturel:
Un Jardin de sculptures et d’art public
Un pavillon d’Expo 67 réaménagé
Ce Pavillon a servi de Musée d’art et par la suite de Musée d’art contemporain de Montréal de 1968 à 1992
En conformité avec, et en complément au plan d’aménagement du secteur Bridge-Bonaventure du service d’urbanisme de la Ville de Montréal, nous proposons que la Cité-du-Havre devienne une entrée emblématique pour la ville de Montréal et le parc Jean-Drapeau, « un parc culturel », comme il en existe dans plusieurs grandes villes du monde. Nos références en la matière sont notamment :
La Ville de Montréal prévoit la construction de 13 500 logements dans le secteur Bridge-Bonaventure. Cet important apport de nouvelles populations à ce milieu de vie gagnera à disposer d’un parc culturel et récréatif pour ses habitants, visiteurs, et pour l’ensemble des Montréalais. L’inclusion du projet de « Parc culturel de la Cité-du-Havre » constitue un complément avantageux au projet du plan d’aménagment du secteur Bridge-Bonaventure et contribuera positivement à répondre aux besoins et à la qualité de vie des habitants actuels et futurs du secteur.
C’est dans le secteur Bridge-Bonaventure que se trouve le bâtiment qui a servi de Musée d’art de l’Expo 67 et, par la suite, de Musée d’art contemporain de Montréal de 1968 à 1992. Par la suite, le bâtiment sis au 2190, rue Pierre-Dupuy, dorénavant propriété de Loto-Québec a été utilisé comme entrepôt pour le Casino de Montréal, entre les années 1998 et 2023. N’étant plus utilisé à cet effet et étant dorénavant excédentaire pour la société parapublique, le gouvernement du Québec a autorisé Loto-Québec à mettre en vente l’édifice.
Suite à sa mise en vente par la société d’État, diverses instances se sont manifestées et ont évoqué l’importance patrimoniale et le bon état du bâtiment. Conçu par une importante firme d’architecture québécoise, il représente un legs important de l’Expo 67.
Bien que la demande de classement patrimonial du bâtiment n’ait pas été retenue en 2023, il demeure un bâtiment d’intérêt architectural, situé dans un secteur de valeur patrimoniale exceptionnelle.
De nouvelles avenues sont dorénavant envisagées pour sa conservation, réutilisation ou réaffectation
Notre projet répond à plusieurs objectifs de la Ville de Montréal et particulièrement au Plan de développement du secteur Bridge-Bonaventure :
Le Pavillon des arts est un Consortium d’organismes culturels autonomes composé de :
Équipe du projet
Claude Gosselin, C.M.
Initiateur du projet
Directeur général et artistique du
Centre international d’art contemporain de Montréal
www.ciac.ca
claude.gosselin@ciac.ca
Lucette Lupien
Citoyenne engagée
Consultante en cinéma
Stéfanie Roy
Architecte MOAQ
René St-Pierre
Archiviste Archiv’Art
https://archivart.ca
Françoise Sullivan
Artiste visuelle, chorégraphe et danseuse
signataire de Refus global en 1948
France Vanlaethem
Présidente Docomomo Québec, Prof. UQÀM.
https://docomomoquebec.ca
Yun Wang
Administratrice de sociétés
Étudiante en muséologie
Stagiaire :
Nicolas Vignola-Goyer
Baccalauréat en Histoire de l’art
Université de Montréal
Nous serions ravis de vous compter parmi nos partenaires ou alliés en signant le registre sur change.org
N’hésitez pas à partager ce lien afin d’impliquer davantage de personnes.
La Presse a publié un article le 12 avril 2025 en lien avec ce projet d’envergure.
Par Mario Girard
Extrait de l’article :
Cet édifice, conçu par Paul Gauthier, Gilles Guité et Gilles Côté, qui créeront avec Jean-Marie Roy l’une des plus importantes firmes d’architectes de Québec, est aujourd’hui la propriété de Casiloc Inc., filiale immobilière de la Société des casinos du Québec. On a longtemps utilisé des locaux pour y entreposer du matériel
Un homme rêve aujourd’hui de faire revivre cet endroit et de lui redonner sa vocation d’origine. Cet homme est Claude Gosselin, directeur général et artistique du Centre international d’art contemporain (CIAC). Au cours des derniers mois, il a mis sur pied un projet qui, ma foi, est très inspirant.
L’idée est d’utiliser ce bâtiment, conçu pour des expositions (il est fait de murs aveugles), et d’en faire un espace consacré aux Automatistes.