Author: Claude Gosselin


FILM documentaire :

CLAUDE GOSSELIN, TÉMOIGNAGE
À BÂTONS ROMPUS

Un film de mario côté.

Plusieurs d’entre vous nous ont demandé d’avoir accès au film produit par Mario Côté sur le CIAC et Claude Gosselin. Vous pouvez maintenant avoir accès au visionnement gratuit de la première partie du documentaire (26 min. sur une durée totale de 58 min.) en cliquant sur le lien suivant:

https://vimeo.com/1008411638

Pour obtenir la version complète du documentaire, veuillez communiquer avec Mario Côté à l’adresse suivante: cotemario29@bell.net

Prix d’achat pour diffusion privée : 35$.
Prix d’achat pour institution : variable, à discuter.

Ce documentaire permet de découvrir l’exceptionnelle contribution qu’ont été Les Cent jours d’art contemporain de Montréal (1985 à 1996) et La Biennale de Montréal (1998 à 2011). Son fondateur et directeur général Claude Gosselin témoigne de la genèse de ces événements qui ont eu l’originalité d’être présentés dans des lieux inusités et non conventionnels. Il nous explique comment ces manifestations ont offert à de nombreux commissaires d’imaginer des expositions prestigieuses tant sur le plan muséologique que sur les enjeux artistiques et esthétiques de l’époque.

Ces événements qui se sont déroulés sur presque une trentaine d’années ont marqué les imaginaires. Un nouveau public s’est initié à l’art contemporain et a pu découvrir des artistes reconnu.es, et parfois méconnu.es, mais qui deviendront majeur.es sur le plan artistique.

 


ENTREVUE EXCLUSIVE DE FRANÇOISE SULLIVAN AVEC LA DR. ABIGAIL SUSIK

COMMENT LES AUTOMATISTES ONT PRIS CONNAISSANCE
DU SURRÉALISME ET LEUR RÉACTION À
CE MOUVEMENT ARTISTIQUE.

Francoise Sullivan et Dr. Abigail Susik au Musée des beaux-arts de Montréal,
octobre 2024. Crédits: Photo (c) Claude Gosselin

À lire sur le site web du CIAC

Une entrevue que Françoise Sullivan a donnée à Abigail Susik, professeure d’histoire de l’art à l’université Willamette de Salem & Portland (Oregon) aux États-Unis, sur ce moment charnière de l’histoire de l’art du Québec et du Canada.

ciac.ca/francoise-sullivan-un-entretien-avec-abigail-susik/

Une publication papier de l’entrevue est aussi disponible.
Tout donateur qui aura fait un don recevra gratuitement la publication
et un reçu pour fins fiscales (don minimal : 25$)

  • Par carte de crédit sur Canadon : canadahelps.org/fr/dn/5290
  • Par chèque : CIAC, 1-3651, av. Laval, Montréal (Québec) H2X 3E1

 

LOGER LA FONDATION JEAN PAUL RIOPELLE
À L’ANCIENNE ÉCOLE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL

Le Devoir numérique du 18 février dernier a publié dans sa section Idée une lettre de Claude Gosselin proposant de loger La Fondation Jean Paul Riopelle dans l’ancienne École des beaux-arts de Montréal actuellement non utilisée depuis bientôt 12 ans. (lien)

 

Photo : 2016 © Jean Gagnon, Creative Commons.


LUC COURCHESNE

Le Conseil des Arts du Canada a remis à Luc Courchesne son Prix annuel des arts visuels et des arts médiatiques 2020. Toutes nos félicitations à Luc pour ce prix fort bien mérité. (lien) . On pourra lire et voir dans le catalogue de l’exposition Lumières sa participation à l’événement des Cent jours de 1986 (lien)

 

Photo : Conseil des arts du Canada.


CATALOGUE LUMIÈRES, PERCEPTION – PROJECTION, CENT JOURS D’ART CONTEMPORAIN DE MONTRÉAL 1986.

Le catalogue de l’exposition LUMIÈRES, Perception – Projection , des Cent jours d’art contemporain de Montréal de 1986, est maintenant en ligne sur le site web du CIAC MTL, sous Les Cent jours, 1986 (lien) . Bonne lecture et heureux souvenirs. Ce travail a été réalisé par Entreprises auxiliaires UQAM.

L’ÉCOLE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL
POUR LA FONDATION JEAN PAUL RIOPELLE


Photo: Jean Gagnon Creative Commons «L’ÉBAM est un bâtiment exceptionnel construit en 1922 par Jean-Omer Marchand et Ernest Cormier, deux architectes québécois des plus célèbres et innovateurs», rappelle l’auteur.

Par Claude Gosselin.
Texte publié dans Le Devoir, Montréal, 18 février 2021.

Au cours des derniers jours, plusieurs événements tristes nous ont montré le peu d’enthousiasme et de respect manifesté par des individus et des dirigeants de municipalités envers le patrimoine bâti au Québec, qui ont été jusqu’à faire part publiquement et sans aucune gêne de leur insouciance.

On peut même penser que la peur d’une nouvelle loi plus favorable à la protection du patrimoine en pousse certains à se presser de demander la démolition de certains bâtiments, et d’autres à ouvrir la porte aux incendies criminels. Il est donc urgent de porter dès maintenant un œil vigilant sur les bâtiments patrimoniaux et sur ceux qui ne sont pas encore classés, mais qui devraient l’être, et qui sont laissés à l’abandon et sans surveillance.

L’occasion est bonne de rappeler que l’ancienne École des beaux-arts de Montréal (ÉBAM), située au 3450, rue Saint-Urbain, est sans occupant depuis le départ du Conseil des arts de Montréal, en 2009. Le bâtiment est sous la responsabilité de la Société des infrastructures du Québec (SIC), dont une partie de la mission est de développer, de maintenir et de gérer un parc immobilier.

L’ÉBAM est un bâtiment exceptionnel construit en 1922 par Jean-Omer Marchand et Ernest Cormier, deux architectes québécois des plus célèbres et innovateurs. L’École a été le milieu d’apprentissage des arts pour plusieurs artistes, dont certains parmi les plus grands. C’est là que Pierre Gauvreau, Louise Renaud et Françoise Sullivan, trois automatistes signataires de Refus global, ont suivi leurs premiers cours d’art.

Alors qu’aujourd’hui on cherche un lieu pour la Fondation Jean Paul Riopelle et, par extension, un lieu pour le groupe des automatistes, il nous paraît tout à fait logique de nous tourner vers l’ÉBAM pour y accueillir les œuvres de Riopelle et celles de ses amis et amies ainsi que pour y aménager un centre de documentation international sur le groupe des automatistes et l’époque à laquelle il s’est développé.

Ce serait là une occasion extraordinaire de remettre ce joyau du patrimoine architectural à une institution, qui, avec les fonds prévus pour le développement de la Fondation Riopelle, pourrait le mettre aux normes d’aujourd’hui et lui permettre d’accueillir des expositions publiques. Ayant utilisé ce bâtiment pour une édition de la Biennale de Montréal en 2011, nous connaissons son potentiel exceptionnel pour les arts visuels. Le rendre au milieu des arts visuels serait le rendre à son activité première et constituerait un juste retour des choses — une opération sans frais exorbitants pour le gouvernement du Québec, à qui appartient l’ancienne ÉBAM.

Il faut souligner que l’ÉBAM est située dans un environnement patrimonial qui a tout aussi avantage à être développé : signalons à cet égard la Maison Notman, le Studio Ernest-Cormier, l’ancienne École technique de Montréal (1909-1911), aujourd’hui le Pavillon Sherbrooke du Complexe des sciences de l’UQÀM, et plusieurs lieux où les automatistes et d’autres artistes ont vécu, étudié, exposé et travaillé de 1939 à 1960. Le site possède aussi des terrains publics qui appartiennent au gouvernement du Québec et à la Ville de Montréal.

Il y a là un projet de « pôle culturel » à réaliser, avec un potentiel de contenu international pouvant se développer sur plusieurs années. Situé dans les limites du Quartier des spectacles, ce pôle ajouterait une offre touristique de premier plan pour la Ville de Montréal.

Protégeons notre patrimoine culturel en lui assignant des fonctions liées, dans la mesure du possible, à ses fonctions originales. Ne détruisons pas une bibliothèque historique pour en faire un lieu d’exposition. Rendons à la bibliothèque Saint-Sulpice une activité liée à la conservation et à l’animation de livres et de documents patrimoniaux. Et redonnons à l’ancienne École des beaux-arts de Montréal sa résonance dans le milieu des arts visuels avec la Fondation Jean Paul Riopelle.

SUZANNE KITE
UNE ARTISTE MULTIDISCIPLINAIRE AUTOCHTONE

Suzanne Kite

Dans le cadre de son projet INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET CRÉATION ARTISTIQUE, le CIAC MTL présente un article d’Anne-Marie Boisvert sur Suzanne Kite, une artiste multidisciplinaire autochtone de la tribu des Oglalas Lakotas (une tribu sioux), originaire de la Californie du Sud. Kite travaille dans des domaines aussi diversifiés que la musique, la performance, la sculpture et l’installation, en incorporant dans ses œuvres les nouvelles technologies issues de l’intelligence artificielle.

LIRE L’ARTICLE

 

Consulter les Fiches du CIAC MTL
Découvrir d’autres artistes de l’intelligence artificielle

 

Image : Suzanne Kite et Devin RonnebergItówapi Čík’ala (Little Picture), ISEA 2020 (capture d’écran tirée de la vidéo), https://art2020.isea-international.org/art-portfolio/suzanne-kite.

LA PLACE DES AUTOMATISTES À MONTRÉAL
Initiateur du projet : Claude Gosselin, claude.gosselin@ciac.ca

Lot 066

Une mise à jour :
1. Liste des gens qui appuient le projet (déjà près de 200 noms)
2. Place des Automatistes
3. Votre inscription

Nous vous remercions chaleureusement de votre appui !

 

EN SAVOIR PLUS

QUE LES MUSÉES OUVRENT LEURS PORTES !

Espérons que les musées pourront ouvrir leurs portes le plus vite possible. Lieux de calme et de civilité par excellence, lieux d’apprentissage du regard, lieux de plaisirs sains, lieux de contemplation, dites-moi pourquoi ma visite vous est interdite. Vous seriez un baume sur ma vie en temps de pandémie.

 

Le Musée des beaux-arts du Canada est ouvert, alors que le Musée des beaux-arts de Montréal et le Musée d’art contemporain de Montréal sont fermés. Où est la logique ?

 

Image : Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa, 2016. Photo © Jean Gagnon.

NOS MEILLEURS VOEUX

Laissons l’année dernière nous en la quittant sans regrets.
Envisageons l’année prochaine dans l’espoir de jours meilleurs.
C’est ce que nous vous souhaitons de tout cœur.
Que la santé soit au rendez-vous – Que la création soit radieuse.

Les membres du conseil d’administration :
Claude Gosselin, Cyrille Girard
Thomas Marcantonio, Nathalie Gervais, Nick Tedeschi

 


MONTREAL’S PLACE DES AUTOMATISTES
Project initiated by Claude Gosselin, claude.gosselin@ciac.ca

Lot 066

Update:
1. List of people supporting the project (already nearly 200 names)
2. Montreal’s Place des Automatistes
3. Support the project

Thank you for your support!

 

READ MORE

LET MUSEUMS OPEN THEIR DOORS!

Hopefully, museums will be allowed to reopen their doors as soon as possible. Places of calm and civility, places of visual learning, places of healthy pleasures, places of contemplation… Tell me, why am I barred from visiting? You would be a balm for my life during a pandemic.

The National Gallery of Canadais open, while the Montreal Museum of Fine Artsand the Musée d’art contemporain de Montréalare closed. Where is the logic?

 

Image: National Gallery of Canada, Ottawa, 2016. Photo © Jean Gagnon.

OUR BEST WISHES

Let’s leave this year behind us without regrets.
Let’s look to the next year for better days.
This is what we sincerely wish you.
May health be yours – May creation be radiant.

The members of the Board of Directors:
Claude Gosselin, Cyrille Girard
Thomas Marcantonio, Nathalie Gervais, Nick Tedeschi

BAnQ – SAINT-SULPICE
UNE BIBLIOTHÈQUE À GRAND POTENTIEL

BAnQ St-Sulpice

Par Claude Gosselin, Charles Lapointe et Jeanne Renaud.
Texte publié dans Le Devoir, Montréal, 5 décembre 2020.

En octobre dernier le gouvernement du Québec remettait le Prix du Québec-Gérard-Morisset à monsieur Claude Dubé pour son travail à la préservation du patrimoine québécois, patrimoine qu’il voulait source de fierté pour tous.

La semaine dernière, le gouvernement du Québec annonçait qu’il abandonnait un projet de bibliothèque technologique pour adolescents à la BAnQ-Saint-Sulpice, donnant à l’édifice patrimonial un sursaut de vie après 15 ans d’inoccupation. L’annonce n’a été suivie d’aucun nouveau projet, laissant entendre que ce magnifique bâtiment retournera au silence.

Une nouvelle Loi sur le patrimoine québécois est en préparation et devrait être présentée à l’Assemblée nationale au printemps prochain. Récemment madame Phyllis Lambert et monsieur Serge Joyal, dans Le Devoir, discutaient du fait que la future loi allait donner plus de pouvoir aux administrateurs des villes et villages du Québec pour décider des édifices patrimoniaux à protéger et à mettre en valeur.

Dans un monde idéal cela serait peut-être une avenue à considérer, mais dans la réalité quotidienne des municipalités qui retirent leur financement par la taxation des biens immobiliers, il sera toujours tentant pour les villes et villages du Québec de favoriser un projet immobilier à revenus importants à un bâtiment patrimonial à revenus réduits et à protéger. Nous l’avons constaté avec tristesse quand la Ville de Mascouche a décidé de démolir le manoir seigneurial de cette ville, un manoir exceptionnel du XVIIIe siècle et en bon état jusqu’à 2015, année où Mascouche en a pris possession. Pour sa part, la Ville de Québec nous a aussi offert de tristes exemples de permis de démolitions octroyés à des développeurs immobiliers peu imaginatifs et incapables d’inclure dans leurs plans le bien patrimonial public.

Nous sommes très heureux du travail qu’ont accompli monsieur Claude Dubé et ses différents partenaires à la préservation du patrimoine. Nous aimerions que le gouvernement du Québec tienne compte du travail de toutes ces personnes qui ont à cœur le bien public et qu’il puisse édicter des lois qui prennent soin de celui-ci. Car à quoi cela sert-il de reconnaître le travail d’individus passionnés pour leur pays et son histoire si dans la réalité de tous les jours on ne tient pas compte de l’objet de leur travail ? C’est tout simplement de l’hypocrisie, de l’aveuglement devant le devoir de marquer la réalité d’un peuple par ses réalisations, qu’elles soient physiques ou intellectuelles.

L’édifice de la Bibliothèque Saint-Sulpice est un bien patrimonial à la fois par son architecture, son design intérieur et les éléments qui ont servi à son mandat : tables, éclairage, rayonnage. Nous avons, pour une rare fois, un ensemble unique, bien conservé, à garder intact pour les générations à venir. Une bibliothèque majestueuse comme il y en a quelques exemples à travers le monde et dont les villes et les pays qui en sont propriétaires défendent avec amour leur nécessité comme témoins de leur culture et de leur histoire.

L’édifice de la Bibliothèque Saint-Sulpice a été conçu pour être une bibliothèque. C’est un bâtiment totalement intégré, une œuvre d’art totale, ayant une fonction très claire : conserver des livres et produire des activités connexes : expositions, conférences, projections de films. Pourquoi ne pas profiter de ce lieu pour y déposer les nombreuses archives en quête de lieux, telles les archives des communautés religieuses et celles des Sulpiciens, archives qui témoignent de l’histoire de notre pays ? Et d’autres archives civiles de première importance.

Conserver des archives ne veut pas dire les mettre dans un coffre-fort inatteignable. Bien au contraire. C’est rendre accessible un patrimoine à la recherche, à la lecture, à l’exposition, à la discussion, à la médiation, à la documentation, à la publication, aux médias électroniques…

Ce bâtiment est un lieu unique à Montréal. Un lieu de sérénité. Un lieu mythique. Pourquoi vouloir en faire un lieu d’excitation, de spectacle, d’animation sans frein, de consommation ? Ce lieu pourrait être une bibliothèque avec une résonnance internationale si on savait y loger les documents qui attirent l’attention de chercheurs de partout dans le monde. À titre d’exemple, nous citerons la bibliothèque-centre-de-recherche du Centre Canadien d’Architecture qui est un lieu universellement connu pour ses collections uniques en architecture. Il faut en cela remercier madame Lambert pour sa vision à long terme sur l’architecture et le patrimoine.

Nous croyons que la Bibliothèque Saint-Sulpice de Montréal a le potentiel de devenir une bibliothèque unique, vivante, et aimée. Le succès de la campagne de financement public mise sur pied récemment est la preuve que des gens sont prêts à appuyer un projet pour sauver ce bien public avec un objectif clair.

Nous espérons que la prochaine Loi sur le patrimoine implantera les structures nécessaires et donnera à des personnes en poste les responsabilités de sauver le patrimoine exceptionnel du Québec et qu’elles auront les moyens qui leur permettront d’agir.

 

Aussi à lire dans Le Devoir du 8 décembre 2020 : « La bibliothèque Saint-Sulpice, ce cimetière d’idées », par Catherine Lalonde.

Pour en savoir plus : Découvrez l’historique de la bibliothèque Saint-Sulpice.

 

Images :
1) Photographie, Bibliothèque Saint-Sulpice, BAnQ, 2016.
2) Photographie (détail), Bibliothèque Saint-Sulpice, Michel Legendre, BAnQ, 2016.
3) Photographie, Bibliothèque Saint-Sulpice, Michel Legendre, BAnQ, 2016.


 

LA PLACE DES AUTOMATISTES À MONTRÉAL

Initiateur du projet : Claude Gosselin, claude.gosselin@ciac.ca

À titre informatif, vous êtes plus de 163 à avoir appuyé la désignation d’un Espace public pour le Groupe des Automatistes à Montréal à ce jour. Nous vous remercions chaleureusement de votre appui.

Total des appuis reçus : 163
Appuis confidentiels : 6
Appuis reçus non publiés : 21*
Appuis publics : 136

*Vous pouvez toujours rendre votre appui public en nous écrivant à automatistes@ciac.ca

ABEL, Marie-Christine
ACHARD, Maurice
ADAMCZYK, Georges
ALLARD LANDRY, Pierre
ARORA, Natasha
BAERT, Renee
BARIL, Jacinthe
BARRE, Pierre M.
BASTARACHE, Jean-Yves
BÉDARD, Louise
BELAIR PAGNETTI, Michèle
BELLEFEUILLE, René
BELLEMARE, Linda
BELLEROSE-MORIN, Roxane
BENOIT, Claude-Philippe
BERNIER, Rene Michel
BERNIER, Colette
BERTRAND, Gilles
BILODEAU, Fabienne
BIRON, Normand
BLAIN, Dominique
BLANCHETTE, Pierre
BOUCHARD, Karine
BOUCHARD SANTERRE, Florence
BOUCHER, Flavie
BOUDREAULT, Marlène
BOUFFARD, Claude
BOULANGER, Michel
BOZZINI, Isabelle
BOZZINI, Stephanie
BRAULT, arch., Yves
BRIÈRE, Marie-France
CHAPDELEINE, Daniel-Joseph
CHÉNARD, André
CLOUTIER, Raymonde
CORMIER-PICHÉ, Denis
CÔTÉ, Mario
COUTURE, Francine
COVIT, Linda
COZIC
DAIGNEAULT, Gilles
D’AMOUR, Yvon
DÉRY, Louise
DEVLIN, Eric
DUBÉ, Marie-Christine

DUBOIS, Sophie
DUSSAULT, Nathalie
ÉMARD, Sylvain
FILION, Serge
FOISY, Carole
FORGUES, Michel
FOURNELLE, André
FOURNIER, Marcel
FRENKEL, Vera
GAGNON, Claude
GAGNON, Sophie
GAGNON, Johanne
GALLAND, Emmanuel
GAMACHE, Guy
GARIÉPY, Michel
GAUTHIER, Ninon
GÉVRY, Martine
GIANGIOPPI, Bruno
GIRARD, Kim
GIRONNAY, Sophie
GODIN-FILION, Vincent
GODMER, Gilles
GOSSELIN, Claude
GRAVEL, Diane
GREENBERG, Reesa
HAMELIN, Monique
HÉBERT, Pierre
JACQUES, Kathleen
JOLICOEUR, Nicole
JULIO-PAQUIN, Jean De
LACERTE , Sylvie
LACROIX , Laurier
LAFORTUNE, Marie-Josée
LAGACÉ, Michel
LAPOINTE, Charles
LAPOINTE, Jean
LAROCHELLE, Luc
LAVIOLETTE, Serge Jean
LE ROUX, Yves
LÉGARÉ, Jocelyne
LÉTOURNEAU, Lise
LÉTOURNEAU, Geneviève
LIZIÈRE
LOGAN, Jean
LORD, Francyne

LUSSIER, Réal
MARCANTONIO, Tommaso
MARCHETTA, Serge
MARÉCHAL, Paul
MARTIN, Pierre
MARTIN, Michel
MICHAUD, Ginette
MIHALCEAN, Gilles
MIRANDETTE, Marie Claude
MONGRAIN, Claude
MURPHY, Serge
NOËL, Jean
PAGÉ, Danny
PAQUET, Raynald
PARADIS , Michel
PARÉ, Alain
PELLETIER, Sonia
PÉRINET, Francine
PERRAULT, Marie
PERRON, Éric
PILOTTE, Pierre
PIQUETTE, Michel
PROVOST, Danyele
PRUD’HOMME, Emery
RENAUD , Jeanne
RENAUD, Paule
ROBILLARD, Mylène
ROCHON, Pierre
RODRIGUE, Guy
ROUSSEAU, Bernard
ROUSSEAU, Denis
ROY, André
SANTERRE, Bruno
SAVOIE, Julien
SOUTHAM, Chloe
ST-PIERRE, René
SULLIVAN, Françoise
SWAIN, Richard
TOUGAS, Colette
TOUSIGNANT, Serge
VALDÉS DE HOYOS, Remigio
VIGNEAULT, Louise
VILLENEUVE, Josette
WELSH, Henry
WILKINS, Jacques

EN SAVOIR PLUS SUR LE PROJET

 

Image : Lot 066 du Quartier des Spectacles, © Arrondissement Ville-Marie.