15 novembre 2019 Gagnant de l’œuvre de Marvin Gasoi
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Le CIAC MTL a réduit le prix de ses œuvres à vendre pour la période du 8 novembre 2019 au 15 janvier 2020. Vous trouverez ci-joint une sélection d’oeuvres de 50$ à 1 000$. Profitez-en pour offrir un cadeau à un partenaire d’affaires ou un ami/une amie que vous appréciez. Les œuvres sont disponibles dès maintenant. Les œuvres ont été offertes par les artistes dans le but d’aider au financement des activités éducatives du CIAC MTL. À votre tour de nous aider. Vous pouvez voir les œuvres sous : SOLDES DES FÊTES |
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De gauche à droite : Félicia Tremblay (Fierté Montréal 2019), André Dudemaine (Présence autochtone 2019), Adrian Stimson (artiste). Photo : Guy L’Heureux
Cet événement qui s’est tenu du 5 au 21 août 2019 a connu un beau succès auprès d’un public curieux. On retrouvera bientôt sur notre site web, www.ciac.ca, photos et documentation des interventions en performances et conférences. De plus, une information pertinente sur ce sujet sera ajoutée régulièrement. Nous remercions très sincèrement tous nos commanditaires et partenaires.
Ne ratez surtout pas les expositions d’Adrian Stimson et de Ma-Nee Chacaby ce Lundi 19, Mardi 20 et Mercredi 21 Août 2019 de 12H à 18H au CDEx, UQÀM – 405, rue Sainte-Catherine Est (angle Saint-Denis).
Naked Napi ( Napi Nu et autres histoires) – Adrian STIMSON
Adrian STIMSON présentera des peintures et des gravures de la série Naked Napi et une performance originale. Napiest un personnage de la nation Blackfoot, souvent appelé « vieil homme », qui occupe une place centrale dans l’histoire des Blackfoot. Selon Adrian STIMSON, il vient du soleil. Il est notre quasi-créateur et il fait office en quelques sortes de guide moral.
Ma-Nee’s Journey (l’histoire de Ma-Nee) – Ma-Nee CHACABY
L’extraordinaire histoire de Ma-Nee CHACABY quant à elle est une histoire de courage, de souffrance et d’amour. Comme bispirituelle, Ma-Nee fait aujourd’hui figure d’inspiration. Il s’agit ici d’une première exposition de ses dessins, aquarelles et masques à Montréal.
ENTRÉE GRATUITE – Dons suggérés.
Québecor a rendu un hommage très apprécié à Denise Boucher et Louise Forestier pour souligner leurs apports exceptionnels à la vie culturelle du Québec le 4 juin dernier au Chalet du parc du Mont-Royal. Nos plus sincères félicitations à Denise Boucher et Louise Forestier!
Pour voir l’article du Journal de Montréal
De gauche à droite: Pascale Bourbeau, Denise Boucher et Pierre Karl Péladeau. Crédit photo: Mario Beauregard.
Chic, moderne et sophistiqué, l’élégant Four Seasons Hôtel Montréal a ouvert ses portes au cœur de la ville, capitale de la mode et de la culture.
L’aménagement intérieur de l’hôtel a été réalisé par Gilles & Boissier et Philip Hazan alors que Zébulon Perron a réalisé le restaurant, le bar et le lounge de l’hôtel. Claude Gosselin a agi comme conseiller artistique dans le choix des artistes et des oeuvres pour les espaces publics et privés. Il est tout à l’honneur de Four Seasons d’avoir insister pour que les artistes soient originaires de Montréal ou qu’ils et elles soient actives dans la ville. Ce projet fort bien réussi est la vision d’Andrew Lutfy et de l’équipe de Carbonleo. L’hôtel est sous la direction de Gonçalo Monteiro.
L’artiste Pablo Vargas Lugo représente le Mexique à la 58eédition de la Biennale de Venise. Son projet, Actos de dios (Actes de Dieu), propose une réflexion sur la foi en tant de croyance religieuse et sur la façon qu’elle a pu imprégner différents aspects de la société, de la politique et de l’imaginaire collectif. L’œuvre se compose d’une vidéo filmée à Cuatro Ciénegas (Coahuila, Mexique), ainsi qu’une série de sculptures.
Le travail de Pablo Vargas Lugo a été présenté par le CIAC lors de la 3eédition de la Biennale de Montréal en 2002, sous le thème La vie, c’est la vie! Plaisirs, Passions, Émotions (commissaire : Claude Gosselin).
« Dans un tout autre registre, l’artiste mexicain Pablo Vargas-Lugo nous présente trois œuvres qui semblent de prime abord emprunter des directions contradictoires. Mais c’est bel et bien un même regard désenchanté sur le monde qui se dissimule derrière ces pièces conçues à l’image de la précarité ambiante et de notre condition chancelante. Une vaste impression numérique murale représente un satellite de communication échoué au cœur d’un arbre. En face de ce débris spatial peu glorieux dont la terre hérite, deux petites installations vidéo mettent en scène des pavillons flottant au vent. Même la finitude humaine semble incertaine dans ces œuvres dépouillées et sans prétention. »
Jean-Claude Rochefort, Le Devoir – Arts visuels, 5 octobre 2002
Aux personnes touchées par ces décès, nous offrons nos plus sincères condoléances.