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Infolettres

LA GRANDE FOIRE DU CIAC 2020
VENTE DE LIVRES À 1 $
ou 50 ¢ chacun pour 10 livres et plus !

 

Nous liquidons toutes nos publications : tous nos ouvrages sont à 1 $, ou 50 ¢ chacun pour 10 ouvrages et plus ! Le CIAC MTL a publié au fils des ans plusieurs catalogues documentant ses expositions. Ces publications proposent des textes sur les artistes, leurs œuvres et les sujets des expositions. On y retrouve aussi la reproduction d’œuvres inédites. Les quantités sont limitées, faites vite !

 

Vous pourrez ramasser vos achats en vous présentant à notre bureau au 3651, av. Laval, Montréal (près du Square St-Louis / métro Sherbrooke). SVP prendre rdv auprès de Claude Gosselin à claude.gosselin@ciac.ca, ou en utilisant notre formulaire de contact en cliquant le lien ci-dessous. N’oubliez pas votre sac !

 

Vous pouvez aussi recevoir vos achats par la poste (frais postaux et de manutention en sus :  5$ par publication).

 

RÉSERVEZ VOS PUBLICATIONS ICI

 


MONOGRAPHIES – 1 $

(ou 50 ¢ chacune pour 10+)

GILBERT BOYER : LA MONTAGNE DES JOURS

Dans ce quasi-livre d’artiste qui documente l’œuvre de Gilbert Boyer sur le Mont-Royal, Claude Gosselin souligne l’apport de l’œuvre à la problématique du lieu de l’art public et Louis Cummins caractérise son contenu par rapport à l’errance, au marquage d’un lieu, d’un espace et d’un temps. Le commentaire de David B. Hanna, géographe, trace brièvement l’histoire du développement du territoire du Mont-Royal.

Louis Cummins, Claude Gosselin, David B. Hanna, CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1992. 36 p. : 24 ill. ; 18 x 18 cm. En français.

MICHEL GOULET : UN SIGNE DE LA MAIN

Depuis une quinzaine d’année, le nom de Michel Goulet est associé à ce qu’on appelle «la nouvelle sculpture anglaise». C’est un univers reconnaissable mais transformé, contradictoire et paradoxal que nous soumet l’artiste. Intitulée Un signe de la main, l’exposition que le CIAC lui consacrait jusqu’au 6 juillet 1997 constituait sa première manifestation montréalaise depuis 1990. Ses œuvres se répartissent en deux groupes: d’un côté il y a les sculptures sérielles avec de vrais «objets divers» associés à la cinquantaine d’entonnoirs, aux seize poubelles…; de l’autre, les contructions en acier patiné, simulacre d’outils ou de pièces de mobilier. Le commissaire Gilles Daigneault a su rassembler des œuvres représentatives de l’artiste: douze œuvres récentes dont sept inédites.

Gilles Daigneault, Claude Gosselin. CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1997. 72p. : 30 ill. (20 coul.); 21 X 21 cm. Français et anglais.

ROBERTO PELLEGRINUZZI : LE CHASSEUR D’IMAGES

Revu et augmenté, l’essai que réédite ici Sylvie Parent étudie l’évolution de Pellegrinuzzi et interroge le genèse de l’image photographique à partir du motif de la feuille végétale. L’auteure note les glissements métaphoriques successifs de l’artiste qui dénonce la survalorisation technologique par rapport à la nature. Notice biographique. 46 réf. bibl.

Sylvie Parent. CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1995. 24 p. : 12 ill. (3 coul.); 28 x 19 cm. Français et anglais.

IRENE F. WHITTOME ​​​​​​:​ CONSONANCE

Les auteurs relèvent chez Irene F. Whittome la convergence des enjeux plastiques présents dans une production couvrant deux décennies; ils mettent en lumière les principes d’assemblage d’éléments hétérogènes instables et le projet d’une réconciliation utopique de structures antinomiques formelles et spatiales. Notice biographique. 18 réf. bibl.

Monika Kin Gagnon, Laurier Lacroix, Joyce Yahouda, CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1995. 66 p. : 27 ill. (11 coul.) ; 28 x 22 cm. Français et anglais.

CHEN ZHEN

« Chez Chen Zhen, la recherche des éléments essentiels de l’évolution culturelle comporte une analyse critique de la société occidentale. La réalité est cruciale. L’oeuvre de Chen Zhen tourne autour d’interventions dans la réalité occidentale, en particulier dans des domaines délicats comme l’environnement et la vie quotidienne dans une société de consommation. »

Claude Gosselin, Hou Hanru. CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1997. 60 p. : 24 ill. (12 coul.) ; 21 X 21 cm. Français et anglais.


EXPOSITIONS DE GROUPE – 1 $

(ou 50 ¢ chacune pour 10+)

REMUER CIEL ET TERRE

Publié par le Centre international d’art contemporain de Montréal, en collaboration avec PUBLIC ART | CULTURE | IDEAS.

Un ouvrage bilingue de 180 pages, abondamment illustré en couleurs, comprenant un avant-propos du directeur général et artistique du CIAC, Claude Gosselin, un essai en profondeur du commissaire de cette 5e édition, Wayne Baerwaldt, des textes descriptifs et des notices biobibliographiques sur chacun des quelque 60 artistes et événements présentés.

Wayne Baerwaldt, Claude Gosselin, [et alii]. CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal & PUBLIC art | culture | ideas, Toronto, 2007. 180 pages, abondamment illustrées en couleurs, 18 x 18 cm. Français et anglais.

STATIONS

Les œuvres de chacun des 18 artistes figurant dans l’exposition préparée par Claude Gosselin sont commentées par James D. Campbell, de même que la série de canevas des « 14 Stations » de Clemente. Roger Bellemare présente à son tour les motifs qui ont présidé à son choix de 14 artistes. Le court texte de Roland Schaer discute du rôle joué par le musée et l’artiste par rapport à la diffusion du savoir. Inclut le texte de Barnett Newman sur sa série de tableaux « Stations of the Cross » (1958-1966). Circa 400 réf. bibl.

ADRIAN X., ROBERT / ALLOUCHERIE, JOCELYNE / BUREN, DANIEL / GOULET, MICHEL / HOLZER, JENNY / HORN, REBECCA / HUEBNER, RON / KRAUSZ, PETER / CAMPBELL, JAMES D. / KUMMER, RAIMUND / LEMOYNE, SERGE / LeWITT, SOL / MERZ, GERHARD / MOLINARI, GUIDO / PITZ, HERMANN / RAYNAUD, JEAN-PIERRE / SCHELLE, SUSAN / SULLIVAN, FRANÇOISE / WALLACE, IAN / CLEMENTE, FRANCESCO / MÜLLER, JOSEF FELIX / FISCHL, ERIC / GOLUB, LEON / BASELITZ, GEORG / ABRAMOVIC, MARINA / ULAY / HEWARD, JOHN / RAINER, ARNULF / SPERO, NANCY / LEMYRE, MARCEL / NAUMAN, BRUCE / BOURGEOIS, LOUISE / BALDESSARI, JOHN / GOODWIN, BETTY / MICHALS, DUANE

Roger Bellemare, James D. Campbell, Claude Gosselin, Barnett Newman, Roland Schaer. CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1988. 207 p. : 54 ill. (52 coul.); 28 x 22 cm ; circa 400 réf. bibl. Français et anglais.

VISIONS 91

Sylvie Parent propose une description commentée des œuvres de dix jeunes artistes canadiens chez qui elle décèle une constante préoccupation envers le corps et les médias. Notices biographiques. 50 réf. bibl.

Branco, Joseph / Brown, Lorna / Clark, Panya / Claus, Barbara / Cté, Marie A. / Lefebvre, Lucie / MAaestro, Lani / Paiement, Alain / Windrum, Robert / Wood, Kelly

Sylvie Parent. CIAC/ Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1993. 31 p. : 20 ill. (6 coul.); 28 x 22 cm. En français.

VUES D’ENSEMBLE

« Au moment où justement, la réalité n’est perceptible qu’à travers les discours spécialisés et la fragmentation du savoir, l’exposition Vues d’ensemble propose un tour d’horizon sur les moyens qu’ont les artistes d’entrevoir la réalité d’une façon globale. La figure du cercle apparaît comme une figure géométrique qui prédomine dans l’ensemble de l’exposition. »

Claude Gosselin, Gaston Saint-Pierre. CIAC/Centre international d’art contemporain de Montréal, Montréal, 1997. 60 p. : 25 ill. (12 coul.); 21 X 21 cm. Français et anglais.


AUTRES PUBLICATIONS – 1 $

(ou 50 ¢ chacune pour 10+)

LES 20 ANS DU CIAC

Pour souligner son 20e anniversaire, le Centre international d’art contemporain de Montréal est fier de publier Les 20 ans du CIAC. Commémorant les activités et les liens uniques que l’organisme a tissés avec la communauté artistique québécoise, canadienne et internationale, cet ouvrage bilingue se veut un outil de réflexion autant qu’un album-anniversaire. La publication pose différents regards sur la philosophie et les réalisations du CIAC, mettant en relief le rôle dynamique joué par l’organisme et évoquant parallèlement toute une génération d’artistes, de commissaires et de collaborateurs.

D’un graphisme élégant et abondamment illustré, Les 20 ans du CIAC saura intéresser autant les chercheurs que les amateurs d’art par la somme de renseignements et les pistes de réflexion qu’il offre.

Sommaire de la publication :
Claude Gosselin : Le CIAC. 1984-2004 : vingt ans
Colette Tougas : Le CIAC, un créateur d’événements
Rose-Marie Arbour : Les Cent jours d’art contemporain de Montréal. Un phare essentiel
Laurier Lacroix : D’une biennale l’autre ou comment « saisir l’intelligence du monde dans le quel on vit à travers l’art de notre temps »
Sylvie Lacerte : La médiation de l’art contemporain du CIAC
John Bentley Mays : Quelques déductions
Jocelyne Alloucherie : Pavoiser la vie
Daniel Buren : Quelques mots d’un ex-participant
Laurence Dauphinais : Le concours Jeunes critiques en arts visuels. Une expérience de démystification
Peggy Gale : À l’approche de 20…
Sylvie Parent : Dans le cœur de l’action
Sylvie Raymond : Du regard à l’imaginaire vers de multiples univers

Éditeur : Centre international d’art contemporain de Montréal
Sous la direction de : Colette Tougas, 254 pages avec 184 illustrations en couleurs, 2004. Textes en français et anglais.

ALAIN FLEISHER : LE CADRE ET LE REFLET

Patrick Rœgiers retrace les enjeux multiples de la démarche maniériste et jubilatoire du photographe Alain Fleischer, dont les traces et fragments d’images en mouvement se dispersent en des parcours soigneusement déréglés par les jeux de miroir et les mises en abyme. Textes brefs de l’artiste, notice biographique et filmographie. 7 réf. bibl.

Alain Fleisher, Patrick Roegiers. Massino Riposati Éditeur, Paris, 1993. 93 p.: 69 ill. (41 coul.) ; 30 X 24 cm. Français et anglais.

FERNAND LEDUC DE 1943 À 1985

Les auteurs considèrent l’unité de la production picturale de Leduc et dressent le bilan de ses recherches sur la lumière-couleur. Inclut les transcriptions de quatre lettres de l’artiste et des fiches techniques commentées des 111 œuvres exposées. Notice biographique. Bibl. 3 p.

Charles Delloye, Sylvie Douce de la Salle, Jean-Pierre Duquette [et alii]. Musée des Beaux-Arts de Chartres, Chartres, 1985. 166 p. : 87 ill. (40 coul.); 30 X 21 cm. Français et anglais.

JEAN-PIERRE RAYNAUD

Walter Hopps décrit le travail de Jean-Pierre Raynaud comme un lien entre modernisme et postmodernisme, combinant abstraction formelle et imagerie iconique d’objets d’usage courant. Selon Alfred Pacquement, l’interprétation du constructivisme proposée par Jean-Pierre Raynaud remet en cause la neutralité du formalisme en s’attachant aux notions d’individualité et de mort. Jean-Luc Daval démontre comment l’artiste utilise les qualités architecturales du modernisme afin de circonvenir le rôle réductiviste du musée. Notice biographique. Circa 120 réf. bibl.

Jean-Luc Daval, Walter Hopps, Alfred Pacquement. Menil Foundation, Houston, 1991. 135 p. : 77 ill. (9 coul.); 23 x 22 cm. Français et anglais.

Françoise Sullivan : Rétrospective, par René Viau

FRANÇOISE SULLIVAN : RÉTROSPECTIVE
PAR RENÉ VIAU

 

René Viau : « Critique d’art, je connais les œuvres de Françoise Sullivan, tant par les expositions qu’elle a faites, que pour avoir participé également, bien discrètement j’en conviens, à l’une de ses actions. Pour Accumulations VI en 1980au volant de ma Volvo 144 verte 1975 j’ai tourné en rond, dessinant de cette manière inédite avec ma voiture ces cercles qui sont l’une des figures de prédilection de Sullivan durant plus d’une heure et demie. Il fallait durant tout ce temps rester sur la lancée tout en évitant bien sûr les danseurs, avec armes et bagages, sortis auparavant de ma voiture, de même que leurs nombreux accessoires répandus comme en vrac sur le terrain de stationnement du Vieux-Montréal qui nous servait de piste et de plateau. Dans son extrême simplicité cette expérience m’a valu, en un même temps, un mal de tête carabiné doublé fort heureusement d’une réflexion « de l’intérieur » pour ainsi dire, et fortement appuyée par ces coups braqués de volant, sur la démarche artistique de Françoise Sullivan.

En écrivant ce texte, je voulais aujourd’hui m’acquitter, et peut-être aussi Claude Gosselin et le CIAC, alors que des expositions récentes sur l’artiste nous en ont donné l’occasion, d’une dette de reconnaissance envers l’art de Françoise Sullivan. Et c’est là toute la justification de cet essai découpé en cinq chapitres. »

FRANÇOISE SULLIVAN : RÉTROSPECTIVE

Chapitre 1 : « LES DESSOUS DE LA PEINTURE »
Chapitre 2 : « DANSE DANS LA NEIGE »
Chapitre 3 : « PAS À PAS »
Chapitre 4 : « LA VIE, L’ART… »
Chapitre 5 : « ENTRE MÉLANCOLIE ET RÉENCHANTEMENT »

 

Lire Françoise Sullivan : Rétrospective, par René Viau

 

Image : Françoise Sullivan, Proportio no 18, 2019 (Galerie Simon Blais, Montréal).

Les Cabinets de curiosités LGBTQ+

JE ME SOUVIENS AU CIAC MTL…
LES CABINETS DE CURIOSITÉS LGBTQ+

 

Du 1er au 20 août 2017, le Centre international d’art contemporain de Montréal (CIAC MTL) présentait « Les Cabinets de curiosités LGBTQ+ », traitant de la tolérance et de l’ouverture à l’égard de la diversité sexuelle. Le vernissage s’était déroulé le 2 août en soirée au Centre de diffusion et d’expérimentation de la maîtrise en arts visuels et médiatiques (CDEX-UQAM), où se tenait l’exposition.

Cet événement, comprenant exposition, conférences et films, avait comme objectif d’amener les gens à découvrir les réalités LGBTQ+ à travers diverses productions artistiques et les programmes d’organismes communautaires tout en montrant une image positive et forte de la diversité sexuelle et de ces communautés.

Revisitez les Cabinets de curiosités LGBTQ+

Image : Photographie © Guy L’Heureux.

CIAC MTL REMEMBERS…
LGBTQ+ CABINETS OF CURIOSITIES

 

From August 1 to 20, 2017, the Centre international d’art contemporain de Montréal (CIAC MTL) presented “LGBTQ+ Cabinets of Curiosities” (Les Cabinets de curiosités LGBTQ+), dealing with tolerance and openness to sexual diversity. The opening took place on August 2 in the evening at the Center for Diffusion and Experimentation for master’s students in visual and media arts (CDEX-UQAM), where the exhibition was held.

This event, including exhibition, conferences and films, was aimed at getting people to discover LGBTQ+ realities through various artistic productions and the programs of community organizations while showing a positive and strong image of sexual diversity and of these communities.

Relive the LGBTQ+ Cabinets of Curiosities

Image : Photo © Guy L’Heureux.

LES AUTOMATISTES AU CONGRESS HALL

 

« La pièce de Claude Gauvreau, Bien-être, est jouée au Congress Hall en 1947. Bien-être se présente comme une pièce surréaliste, loin du théâtre présenté alors à Montréal… »

CONGRESS HALL (fr)

Suivez notre projet « Cartographie des Automatistes à Montréal » en visitant le lien ci-dessous. Au final, 50 lieux où les Automatistes ont été actifs entre 1939 et 1955 seront répertoriés. L’apport de ces artistes dans les domaines des arts visuels, de la danse, de la littérature, du théâtre, du design et de la psychanalyse au Québec et au Canada est immense.

Consultez la carte des lieux fréquentés par les Automatistes
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Les versions françaises et anglaises des données sont disponibles sur notre site web. Les fiches sont mises à jour régulièrement, corrigées, augmentées. N’hésitez pas à nous faire vos commentaires à claude.gosselin@ciac.ca.

Image : St. Patrick’s Congress Hall, 454, rue Dorchester Ouest (aujourd’hui boul. René-Lévesque Ouest), construit en 1914. Photo : William Notman, 1915. Musée McCord.

 

AUTOMATISTS AT CONGRESS HALL

 

« Claude Gauvreau’s play, Bien-être [Well-being], was performed at Congress Hall in 1947. Bien-être was a surrealist play, and as such, was very different from the theater presented in Montreal at the time… »

CONGRESS HALL (en)

Follow our project, “Mapping the Automatists in Montreal”, by visiting the link below. In the end, 50 places where the Automatists were active between 1939 and 1955 will be listed. The contribution of these artists in the fields of visual arts, dance, literature, theater, design and psychoanalysis in Quebec and Canada is immense.

Explore the map of the places frequented by the Automatists
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French and English versions are available on our website. Files are regularly updated, corrected, expanded. Feel free to send us your comments at claude.gosselin@ciac.ca​​​​​​​.

Image: Saint Patrick’s Congress Hall, 454, Dorchester Street West (now René-Lévesque Blvd West), built in 1914. Photo: William Notman, 1915. McCord Museum.

LES AUTOMATISTES AU
MAGASIN MORGAN’S

 

Découvrez les activités des Automatistes chez Henry Morgan & Co., un magasin mieux connu aujourd’hui sous le nom de La Bay, dans le cadre de notre projet Cartographie des Automatistes.

Magasin Morgan’s

 

C’est par les lieux où ils ont étudié, travaillé et exposé que nous vous proposons de faire connaissance avec les artistes du groupe des Automatistes de Montréal entre 1939 et 1955. Leur apport est immense dans les domaines des arts visuels, de la danse, de la littérature, du théâtre, du design et de la psychanalyse au Québec et au Canada. Nous vous proposons de découvrir pas moins de 50 lieux à visiter là où ces artistes ont été actifs en privé et publiquement.

Consulter la carte des lieux fréquentés par les Automatistes

Les fiches de ce projet sont mises à jour régulièrement. N’hésitez pas à nous faire vos commentaires ou à suggérer des corrections : claude.gosselin@ciac.ca

Image : Édifice Henry Morgan, 585 rue Sainte-Catherine Ouest, construit en 1891 par l’architecte John Pearce Hill. Photo : Archives de la ville de Montréal. 30 mars 1936.

AUTOMATISTS AT
MORGAN’S STORE

 

Discover the activities of the Automatists at Henry Morgan & Co., a store better known today as The Bay, as part of our project Mapping the Automatists.

Morgan’s Store

 

It is through the places where they studied, worked, and exhibited that we invite you to meet the artists of the Automatists group in Montreal between 1939 and 1955. Their contribution is immense in the fields of visual arts, dance, literature, theater, design and psychoanalysis in Quebec and Canada. We invite you to discover no less than 50 locations to visit where these artists have been active privately and publicly.

Explore the map of the locations frequented by the Automatists

The files for this project are updated regularly. Please feel free to give us your comments or suggest corrections: claude.gosselin@ciac.ca

Image: Henry Morgan Building, 585, Sainte-Catherine Street West, built in 1891 by architect John Pearce Hill. Photo: City of Montreal Archives. March 30, 1936.

LES AUTOMATISTES AU
MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL

 

Découvrez les activités des Automatistes au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), dans le cadre de notre projet Cartographie des Automatistes.

The Art Gallery, 1860 – 1949

Les Salons du printemps, 1938 – 1954

Expositions des Automatistes, 1950 – 1955

 

C’est par les lieux où ils ont étudié, travaillé et exposé que nous vous proposons de faire connaissance avec les artistes du groupe des Automatistes de Montréal entre 1939 et 1955. Leur apport est immense dans les domaines des arts visuels, de la danse, de la littérature, du théâtre, du design et de la psychanalyse au Québec et au Canada. Nous vous proposons de découvrir pas moins de 50 lieux à visiter là où ces artistes ont été actifs en privé et publiquement.

Consulter la carte des lieux fréquentés par les Automatistes

Suivez ce projet sur notre site web, d’autres infos sont régulièrement ajoutées. N’hésitez pas à nous faire vos commentaires :

claude.gosselin@ciac.ca

Image : Musée des beaux-arts de Montréal (pavillon Michal et Renata Hornstein), au 1379, rue Sherbrooke Ouest. Architectes : Edward et William S. Maxwell. Photo : Archives de la Ville de Montréal, 26 mars 1936.

AUTOMATISTS AT THE
MONTREAL MUSEUM OF FINE ARTS

 

Discover the activities of the Automatists at the Montreal Museum of Fine Arts (MMFA), as part of our project Mapping the Automatists.

The Art Gallery, 1860 – 1949

The Spring Salons, 1938 – 1954

Automatists’ Exhibitions, 1950 – 1955

 

It is through the places where they studied, worked, and exhibited that we invite you to meet the artists of the Automatists group in Montreal between 1939 and 1955. Their contribution is immense in the fields of visual arts, dance, literature, theater, design and psychoanalysis in Quebec and Canada. We invite you to discover no less than 50 locations to visit where these artists have been active privately and publicly.

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claude.gosselin@ciac.ca

Image: Montreal Museum of Fine Arts (Michal and Renata Hornstein Pavilion), at 1379 Sherbrooke Street West. Architects: Edward and William S. Maxwell. Photo: Archives of the City of Montreal, March 26, 1936.

LES AUTOMATISTES CHEZ
MURIEL GUILBAULT

 

Découvrez les activités des Automatistes au « Domicile de Muriel Guilbault », dans le cadre de notre projet Cartographie des Automatistes.

Consulter la fiche

C’est par les lieux où ils ont étudié, travaillé et exposé que nous vous proposons de faire connaissance avec les artistes du groupe des Automatistes de Montréal entre 1939 et 1955. Leur apport est immense dans les domaines des arts visuels, de la danse, de la littérature, du théâtre, du design et de la psychanalyse au Québec et au Canada. Nous vous proposons de découvrir pas moins de 50 lieux à visiter là où ces artistes ont été actifs en privé et publiquement.

Consulter la carte des lieux fréquentés par les Automatistes

 

Suivez ce projet sur notre site web, d’autres infos sont régulièrement ajoutées. N’hésitez pas à nous faire vos commentaires : claude.gosselin@ciac.ca

Image : Muriel Guilbault, [Vers 1942]. BAnQ Vieux-Montréal (P948,S1,D8). Photographe : Desautels.
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

MBAM: Qui trop étreint, mal embrasse

 

Par Claude Gosselin, C.M., 29 juillet 2020

 

Dans la saga du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), plusieurs personnes qui ont à cœur l’institution sont en train de lui nuire par leurs commentaires émotifs.

Sur une période de 20 ans, Nathalie Bondil a ouvert le Musée et en a fait une institution accueillante aux dynamiques culturelles et sociales d’aujourd’hui. Elle a réussi ce coup flamboyant en remerciant régulièrement les équipes professionnelles du Musée, les mécènes locaux et les membres du Musée qui ont soutenu ses projets. Le Musée serait donc le travail d’équipes sous la gouverne d’une chef passionnée et engagée.

Malheureusement, le Musée risque actuellement de perdre toute sa reconnaissance d’être un grand musée par les actions des mêmes personnes qui en ont fait ce qu’il est.

Leurs manœuvres sur les scènes locale et internationale pour se trouver des alliés dans le combat qui oppose la directrice du Musée au conseil d’administration de celui-ci en sont un triste exemple. Continuer ainsi, c’est se tirer dans le pied.

Quand le directeur du Conseil des arts du Canada (CAC), Simon Brault, annonce de façon déplacée et publique qu’il a abaissé la cote du Musée à la cote « situation inquiétante », il nuit plus au Musée qu’il ne l’aide. Il donne un mauvais signal aux « investisseurs » potentiels. M. Brault parle d’investissement quand le CAC accorde une subvention au MBAM. Ayant travaillé pendant trois ans au CAC et ayant assisté à des réunions du conseil d’administration, jamais je n’ai vu un directeur se prononcer aussi cavalièrement et de façon presque arrogante sur un organisme canadien qui traversait temporairement une situation difficile, qu’elle soit d’ordre financier ou de gouvernance. Et pourtant, j’en ai vu beaucoup. En finançant annuellement à hauteur de 450 000 $ sur un budget de fonctionnement d’environ 35 millions, Simon Brault aurait pu se garder une petite gêne.

Il nous reste à connaître les noms des membres du comité mis en place par la ministre de la Culture et des Communications du gouvernement du Québec, Nathalie Roy, pour faire enquête sur la situation au MBAM.

Ayant avoué que « le Musée était Nathalie Bondil », sans doute saura-t-elle trouver des personnes objectives. Rappelons que le gouvernement du Québec nomme 9 des 21 membres au conseil d’administration.

 

Claude Gosselin, C.M.
Directeur général et artistique
Centre international d’art contemporain de Montréal
claude.gosselin@ciac.ca

 

Article publié dans le journal La Presse du 29 juillet 2020. Pour consulter l’article en ligne, cliquer ici.

Image : Bâtiment de 1912 du Musée des beaux-arts de Montréal, août 2009. Photographie : Stéphane Batigne.

LES AUTOMATISTES
À L’HÔTEL WINDSOR ET À LA LIBRAIRIE TRANQUILLE

 

Aujourd’hui sont lancées les fiches sur « L’Hôtel Windsor » et « La Librairie Tranquille », dans le cadre de notre projet Cartographie des Automatistes.

Consulter les fiches

C’est par les lieux où ils ont étudié, travaillé et exposé que nous vous proposons de faire connaissance avec les artistes du groupe des Automatistes de Montréal entre 1939 et 1955. Leur apport est immense dans les domaines des arts visuels, de la danse, de la littérature, du théâtre, du design et de la psychanalyse au Québec et au Canada. Nous vous proposons de découvrir pas moins de 50 lieux à visiter là où ces artistes ont été actifs en privé et publiquement.

Consulter la carte des lieux fréquentés par les Automatistes

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Image de gauche : Hôtel Windsor. Partie originale à gauche ouverte en 1878, architecte : William W. Boyington. Annexe Nord ouvert en 1906, architectes : Hardenbergh et Gilbert. Photo : William Notman, 1938-1935. Musée McCord. 
Image de droite : Vernissage à la Librairie Tranquille, 31 août 1948. Photo : Fonds Henri Tranquille, Université de Sherbrooke.

Un mandat à préciser pour le
Musée des beaux-arts de Montréal?

 

Par Claude Gosselin, C.M., 20 juillet 2020

 

C’est une bien triste histoire qui frappe le Musée des beaux-arts de Montréal.

De l’extérieur, le musée reçoit des éloges de satisfaction pour la vision et la programmation mise en avant par la directrice Nathalie Bondil; de l’intérieur, le musée reçoit des plaintes du personnel professionnel pour la mise en place d’un climat de travail malsain. Les deux camps reçoivent des appuis importants d’individus et de groupes privés et publics.

Nous sommes le premier à reconnaître l’immense travail d’ouverture et de repositionnement de la notion de musée que Nathalie Bondil a mis en place et nous lui en sommes très reconnaissant.

Un comité externe doit enquêter et remettre un rapport au gouvernement québécois, principal bailleur de fonds. S’il est nécessaire de se pencher sur la gouvernance de l’institution et de clarifier les devoirs de chacun, ne pourrait-on pas profiter de cette occasion pour préciser le mandat du musée.

S’il est vrai que nous avons besoin du MBAM pour nous faire connaître les meilleurs artistes et les meilleures productions artistiques de la scène internationale, n’en serait-il pas tout autant une priorité du musée de nous faire connaître l’art et les artistes du Québec et du Canada?

Au cours des dernières années, les principales expositions du MBAM (celles pour lesquelles on a mis de gros budgets et pour lesquelles on a alloué les meilleures salles) ont mis en avant des artistes et des mouvements artistiques de la scène internationale. À l’occasion, on aura présenté des artistes d’ici en accompagnement dans des salles adjacentes ou dans le sous-sol. Quel retour sur les investissements majeurs des gouvernements du Québec et du Canada et ceux des mécènes privés et des membres du musée avons-nous reçu pour le développement des artistes et des mouvements artistiques de chez nous? Très peu sur un budget annuel très important.

On peut comprendre l’insatisfaction des conservateurs du musée, qui voient leurs rôles réduits à celui d’adjoints de commissaires étrangers ou invités, à la production d’expositions de peu d’envergure et à la rédaction des notes sur des œuvres pour leur acquisition ou pour le magazine du musée. Combien d’expositions majeures leur a-t-on permis de développer? Ce n’est pourtant pas à cause de leur manque de connaissances ou de professionnalisme. Ce n’est pourtant pas à cause d’un manque de sujets à développer sur l’art au Québec et au Canada et les liens avec les Amériques? On se souviendra avec plaisir de l’exposition Une modernité des années 1920 à Montréal-Le Groupe de Beaver Hall en 2015 de Jacques Des Rochers ou Grandeur nature : peinture et photographie des paysages 1860-1918 en 2009 de Hilliard T. Goldfarb. Comment se fait-il que nous n’ayons pas encore au MBAM des salles permanentes consacrées à l’ensemble des artistes du groupe des Automatistes, qui a été si important au Québec et au Canada?

Nous ne serions pas surpris d’apprendre que ces conditions de travail soient aussi liées au développement d’un climat de travail « nocif » depuis plusieurs mois, voire quelques années. Or nous avons besoin de ces professionnels et professionnelles pour assurer le mandat du musée. Espérons que le comité d’enquête sur la gouvernance du musée saura nous donner les balises nécessaires au Musée des beaux-arts de Montréal pour réaliser un mandat clair sur ses obligations de développer une muséologie ouverte à l’international, mais aussi au développement, à la connaissance et à la promotion des artistes et des mouvements artistiques au Québec et au Canada.

 

Claude Gosselin, C.M.
Directeur général et artistique
Centre international d’art contemporain de Montréal
claude.gosselin@ciac.ca

 

Image : L’édifice New Art Gallery, présentement le Pavillon Michal and Renata Hornstein du Musée des Beaux-Arts de Montréal, 1379 rue Sherbrooke Ouest, Montréal, Québec, Canada. Photo prise le 19 septembre 2013.